Pour conclure ce blog, qui prend naissance d’un
travail dans le cadre du cours Communication interculturelle
internationale, nous aimerions discuter des impacts que le processus de
recherche et d’approfondissement sur ce pays ont eus sur nos perceptions et du
mode de travail que nous avons utilisé afin de mener à bien ce travail
d’équipe.
Faisant toutes parties du même programme
d’étude, la physiothérapie, nous avons formé une équipe et suivi le désir d’une
de nos membres qui avait été séduite par la personnalité de son oncle, un
Brésilien immigré au Canada depuis quelques années, pour enfin arrêter notre
choix sur la culture brésilienne. Au fil des discussions et de préparations via
un groupe Facebook créé spécialement pour le travail, nous en sommes
finalement venues à interviewer Youri via Skype et à faire de belles
découvertes par la même occasion.
La rencontre avec Youri nous a permis
d’illuminer des éléments de la culture du Brésil dont nous n’aurions pas pu
imaginer l’existence ou l’ampleur et de nous faire réaliser les différences
avec la culture québécoise. Parmi ces éléments, c’est certainement les
inégalités sociales entre les riches et les pauvres qui nous ont le plus
marquées. On en constate d’ailleurs le résultat lorsque se renseigne sur les
dessous de la coupe du monde de soccer qui a lieu présentement et que l’on
apprend que plusieurs personnes y ont perdu logis sans compensation.
D’un autre côté, cette entrevue nous a aussi
permis de faire la connaissance d’une personne immigrée au Canada qui a fait
preuve d’une grande capacité d’adaptation et qui a su relever les défis qu’un
changement si important apporte avec beaucoup de rires et d’ouverture. En
effet, les différences qui existent entre nos deux cultures sont sur plusieurs
sphères et il faut beaucoup de courage pour affronter les obstacles que peuvent
entrainer la barrière de langue.
En globalité, nous restons toutes sensibilisées
par ce travail et par les éléments appris dans le cadre du cours. Ouvertes à
faire des rencontres et des découvertes et persuadées que le mélange des
cultures apporte à tous beaucoup d’avantages si chacun se côtoie avec respect
et tente de comprendre l’autre.
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